Portrait #triburivedroite : Hello Nathalie
Chez Rive Droite, nous croyons que le collectif est capable du meilleur.
Quoi de plus puissant en effet que l’émotion collective pour impacter le monde de façon positive ?
C’est exactement le sens qu’on met derrière le hashtag #triburivedroite qui rassemble des hommes et des femmes qui cherchent à consommer autrement sans abdiquer le goût des belles choses. Comme nous. Comme vous.
Aujourd’hui, on est très heureux de partir à la rencontre des hommes et les femmes qui ont composé la tribu de notre dernier shooting réalisé en mars dernier chez le Studio Royal Cheese, avec la photographe Julia Champeau.
On commence cette série de portraits avec Nathalie.
Qui es-tu ?
Je m’appelle Nathalie Marchal et j’habite à Paris.
Que fais-tu dans la vie ?
Je suis consultante dans la mode. C’est un milieu qui me passionne, j’ai occupé plusieurs fonctions qui m’ont permis d’appréhender les différentes facettes de ce secteur :
j’ai été styliste, journaliste de mode et directrice artistique d’une marque.
j’ai été styliste, journaliste de mode et directrice artistique d’une marque.
Qu'est-ce qui t'inspire au quotidien ?
Prendre le métro m’inspire beaucoup, j’adore voir les gens, leur façon unique de s’approprier le vêtement ou l’accessoire. J’aime être confrontée à des styles ultra diversifiés, c’est la meilleure source d’inspiration.
Bien sûr, il y a aussi l’art contemporain, enfin ça dépend des oeuvres. 😉
L’image dans les films, la peinture aussi, pour le travail des couleurs, et la nature.
Est-ce que l'engagement d'une marque est important pour toi ?
Bien sûr, aujourd’hui l’engagement est primordial mais je me méfie de ce qui est dit et je m’intéresse plus à ce qui est fait.
Le but ultime serait de tout faire en France mais je sais que le coût n’est pas tenable, surtout si on veut s’adresser au plus grand nombre. Malheureusement, le savoir-faire a disparu, nous n’avons plus les machines adaptées, ni les compétences d’ailleurs. Mais cela ne veut pas dire que rien n’est possible, cela prendra simplement un peu de temps pour que la France retrouve sa puissance industrielle dans la confection.
En tout cas, dans mon mode de consommation, c’est prépondérant.
Je suis sensible à comment cela est fait et où cela est fait. Après, le moyen d’être le plus engagé, ce serait de ne rien acheter, donc il y a un vrai paradoxe qui a au moins le mérite de nous faire réfléchir sur notre consommation.
Je suis sensible à comment cela est fait et où cela est fait. Après, le moyen d’être le plus engagé, ce serait de ne rien acheter, donc il y a un vrai paradoxe qui a au moins le mérite de nous faire réfléchir sur notre consommation.
Quel est ton sac Rive Droite favori ?
Célestins le sac week-end couleur camel ou gris givré : j’aime beaucoup son format carré, mais je l’utiliserai pour tous les jours, je n’attendrai pas de partir en week-end. Je n’aime pas trop les sacs à main, je préfère les grands sacs au quotidien. Parfois je mets aussi des sacs bananes car j’aime avoir le moins de choses possible et c’est bien pour le métro.
Du coup je rajouterais votre modèle Custine à ma liste.
Du coup je rajouterais votre modèle Custine à ma liste.
La #triburivedroite c’est aussi une communauté de bons vivants qui aime découvrir de nouvelles adresses.
Est-ce que tu peux partager tes spots préférés dans Paris ?
Bien sûr, il y a plusieurs adresses que j’aime beaucoup :
- Le restaurant café du musée Jacquemart André, l’un des plus beaux salons de thé de Paris.
- Le Palais de Tokyo, le plus grand centre d’art européen dédié à la création contemporaine.
- The Broken Arm, une boutique de vêtements de créateurs pour l’homme et la femme près du Carreau du Temple dans le Marais.
- La Librairie Ofr dans le Marais pour sa sélection de parutions design, mode, lifestyle toujours pointue.